Das Heimweh, le hareng, les pommes de terre et les cornichons
Je suis de retour à Berlin, après plusieurs mois pendant lesquels l’Heimweh s’installait en moi. Alors s’il est vrai que je suis rapidement nostalgique de
Je suis de retour à Berlin, après plusieurs mois pendant lesquels l’Heimweh s’installait en moi. Alors s’il est vrai que je suis rapidement nostalgique de
Plutôt que de manger de la super-food super-chère parfois super-polluante à produire, mangez donc des légumes ben d’chnez nous! La pomme de terre par exemple.
Cette recette est très simple son taux de régalade est de 10. Il vous faut de super bonnes, bonnes pommes de terre, au hasard Linda
Et de l’huile de truffe de plutôt bonne qualité pour éviter que les arômes synthétiques ne le soient trop, où qu’ils soient trop grossièrement mixés avec de l’huile de mauvaise qualité.
L’intégration passe aussi par la nourriture, alors j’ai fait des régimes de Berliners, de Currywursts et de choux. Comme la ville est culturellement très riche, j’ai aussi fait des cures de döners mais là, j’ai plus de mal, enfin je veux dire mon estomac a plus de mal.
Ma grand-mère ne parlait jamais de pâtes, mais de nouilles. Lasagnes, linguines, tagliatelles, farfales, pour elle c’était des nouilles. Je me suis dit que c’est parce que ce n’était pas sa culture. En Auvergne on mangeait des choux, des carottes, et des patates. Et bien toutes les patates étaient des patates. Belle de Fontenay, Roseval, Bintje, Charlotte, Rate ou Pompadour, c’étaient des patates. C’est peut-être, car l’Auvergne est plus un plateau de fromages qu’un plat de frites. L’Allemagne est le grand pays des pommes de terres et justement aujourd’hui c’est mercredi, le jour des recettes typiquement berlinoises.
En face du Tacheles à Berlin , une autre forme d’expression artistique. Le jeu de mots. On comprend le message, mais de quelle langue s’agit-il? Du Berlinois?
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