Il y a à peu près un an, j’avais fait l’éloge de l’asperge de Beelitz, je ne vais pas recommencer. J’avais aussi donné une recette Berlinoise, aujourd’hui, je vous en donne une autre.
Accrochez-vous la recette est difficile a réussir.
Pelez les asperges, coupez les pieds et jetez dans de l’eau bouillante très légèrement vinaigrée et salée.
Après 10 à quinze minutes, sortez-les, égouttez et servez chaud.
C’est presque fini, je vous avez dit que c’était compliqué. À ce stade, votre nez est à la fête avec le parfum de noisettes crémeux qui s’échappe de l’asperge dans l’assiette.
Laisser fondre une noix de beurre et pour la croustillance saupoudrez de quelques grains de gros sel de mer comme celui de Guérande (dans ce cas, pensez à en apporter avec vous parce qu’ici il vous faudra un crédit sur dix ans pour en acheter dix grammes)
Mangez.
Un pain blanc comme les Schrippes ou un Pide turc ira parfaitement.
Comme boisson, un Schorle ira bien, car il ne masquera pas le goût des asperges. Pour faire un Schorle, mélangez dans votre verre du vin blanc comme un Soave par exemple et de l’eau minérale gazeuse, les proportions dépendent de vous, 50/50 c’est pas mal.
Les asperges de Beelitz sont chères, mais sont mille fois meilleures que les asperges grecques en vente en ce moment. Comme pour les cornichons ou la bière en bouteille plastique, on a fait un comparatif très poussé : il n’y a pas photo. La Beelitz l’emporte de tous les points de vues.
Une réponse
Et les asperges d’Alsace ! Pas mal non plus. Maintenant fraîches !