Les beaux romans de Beate Dölling
Beate Dölling écrit depuis qu’elle peut tenir un crayon. Il y a 18 ans, elle publiait son premier roman et n’a pas arrêté depuis. Jusqu’ici
Beate Dölling écrit depuis qu’elle peut tenir un crayon. Il y a 18 ans, elle publiait son premier roman et n’a pas arrêté depuis. Jusqu’ici
Je sais, c’est étonnant, mais notre prochain roman commence à Berlin. Un jeune Français qui a bien profité de la vie nocturne de Berlin, va
Duden vient de publier notre dernier ouvrage. Un recueil de quatre histoires pour se faire peur quand on parle allemand et qu’on a entre 7 et 9 ans.
Plus que 3 semaines avant la parution de notre dernier polar dont je dois taire le nom avant qu’il ne sorte dans trois semaines ce qui ne m’empêche pas de vous montrer un détail de sa couverture, zoomée à mort, pour vous donner envie de vous précipiter chez votre libraire dès sa sortie. Dans trois semaines.
On vient d’apprendre que notre prochain bouquin sortira en octobre. On de doit pas communiquer son titre, ni montrer sa couverture. Ta da da.
Quand, en mai, un éditeur me demande « On aimerait bien que vous nous écriviez un petit conte de Noël », je suis rarement excité.
Je participe cette semaine à la fête de la lecture Lirum Larum à Freiburg. Si vous êtes par là bas…
Après Drummer Gesucht ! et Lampenfieber, Zerreissprobe vient de paraître, chez Schott Music. C’est le dernier volume de notre série « The Pommes ». Plus précisément, il est paru il y a une semaine, mais on est tellement dans notre prochain roman qu’on l’avait oublié. On a fété ça en partageant une Bionade, car il ne nous est pas possible de faire une grosse fête au moment où dans notre polar, l’inspecteur se fourvoie complètement, on doit avoir l’esprit clair. C’est pas facile tous les jours!
En ce moment, je ne suis pas à Berlin, d’où le peu d’activité de ce blog. On est parti dans l’extrême sud de Kreuzberg pour rédiger notre prochain roman, un polar, notre premier, et aussi pour trouver un peu de chaleur, sauf que le jour de notre départ de Berlin il faisait beau et qu’où nous sommes le temps est pourri.
Bonjour de Graz. Aujourd’hui à Berlin on célèbre la chute du mur et Graz est toujours traversé par le Mur Le Mur, c’est un fleuve, celui d’où j’ai pris cette photo de la Kunsthaus de Graz. On passe notre temps à la Literaturhaus, où nous lisons « Auf dem dach » dans le cadre de du festival Bookolino.
On vient de finir le premier jet de notre prochain roman. Petit passage à vide, mais qui va bien avec ce ciel qui est tellement bas qu’aux Pays-Bas, on dirait qu’un canal s’est pendu, mais pas ici. Car ici, à la limite, un canard peut se pendre, mais pas le Landwher kanal. Pour le moment il est en pleine forme et super beau avec toutes ces feuilles colorées qui l’entourent.
Lampenfieber, ça veut dire trac. C’est le titre du deuxième volume de notre série « The Pommes » publié chez Schott Music. Dans la première partie, « Drummer Gesucht », le groupe cherchait et trouvait son batteur, dans celle-ci il donne ses premiers concerts au Junction Bar (Kreuzberg), au A Laden (Prenzlauer Berg) et à Eberswalde.
Axel habite dans la ferme de ses parents, en Bavière. Il préfère le Reggae et le Dub aux Oom-pah et Schuhplattler des Bier Gartens. Son seul ami, c’est son chien, Riddim avec lequel il parcourt les montagnes. Son autre passion, c’est la photo. Il documente la vie dans son village paumé au fond d’une vallée. Certains ne le quittent qu’une fois par an, pour aller à la fête de la bière à Munich. Lui voit plus loin, il voit Berlin, sa foule cosmopolite et ses clubs de reggae. Sans un sou, il se glisse discrètement à bord de la remorque d’un poids lourd en route pour la capitale. Il y fait une rencontre.
Il y a une pub pour notre dernier roman « Drummer Gesucht ! » qui passe toute cette semaine dans la Berliner Fernsther ( le réseau TV du métro ). Si vous la voyez, pouvez vous me dire dans quelle tranche horaire vous l’avez vu. Merci.
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