On vient de finir le premier jet de notre prochain roman. Petit passage à vide, mais qui va bien avec ce ciel qui est tellement bas qu’aux Pays-Bas, on dirait qu’un canal s’est pendu, mais pas ici. Car ici, à la limite, un canard peut se pendre, mais pas le Landwehrkanal. Pour le moment il est en pleine forme et super beau avec toutes ces feuilles colorées qui l’entourent.
Quand j’aurai écrit autant de romans qu’il y en a sur cette pile, je pense que je maîtriserai l’orthographe.
3 Responses
-« Avec un ciel si gris qu’il faut lui pardonner »…
On ne peut pas avoir les couleurs des feuilles et du ciel, ni le beurre et l’argent du beurre.
ça y est , le futur et le conditionnel n’ont plus de secret pour toi , bravo
le plat pays qui est le mien .