Le polar qui fait peur rien que d’en parler
On vient d’apprendre que notre prochain bouquin sortira en octobre. On de doit pas communiquer son titre, ni montrer sa couverture. Ta da da.
On vient d’apprendre que notre prochain bouquin sortira en octobre. On de doit pas communiquer son titre, ni montrer sa couverture. Ta da da.
Je suis retourné au Berliner Ensemble, voir Lulu et je me suis vraiment éclaté. J’y suis retourné, parce que la troupe m’avait emballée dans l’Opéra de quat’sou, parce que c’est Robert Wilson qui signe la mise en scène et parce que la musique est de Lou Reed.
Quand, en mai, un éditeur me demande « On aimerait bien que vous nous écriviez un petit conte de Noël », je suis rarement excité.
Onze heures onze, le onze novembre 2011. Pourquoi 1212121212 fait peur, et pas 1111111111 ?
Je participe cette semaine à la fête de la lecture Lirum Larum à Freiburg. Si vous êtes par là bas…
La lanterne d’Aristote est le dernier roman de Thierry Laget, et bien qu’il n’ait qu’un lointain rapport avec le contenu de ce blog, je vais quand même vous en parler ici. Et après l’avoir lu à votre tour, le roman pas mon billet, vous me remercierez.
Je suis allé voir l’Opéra de quat’sous au Berliner ensemble.
Après Drummer Gesucht ! et Lampenfieber, Zerreissprobe vient de paraître, chez Schott Music. C’est le dernier volume de notre série « The Pommes ». Plus précisément, il est paru il y a une semaine, mais on est tellement dans notre prochain roman qu’on l’avait oublié. On a fété ça en partageant une Bionade, car il ne nous est pas possible de faire une grosse fête au moment où dans notre polar, l’inspecteur se fourvoie complètement, on doit avoir l’esprit clair. C’est pas facile tous les jours!
Message à caractère informatif : Beate et moi, avons été invités à lire le troisième roman de notre série « The Pommes » à Hambourg, le 13 avril, dans le cadre des Vattenfall Lesetage. C’est la deuxième fois qu’on participe à ce festival de lecture, qui dure une semaine. C’est pour nous l’occasion de rencontrer d’autres auteurs et les lecteurs.
Bonjour de Graz. Aujourd’hui à Berlin on célèbre la chute du mur et Graz est toujours traversé par le Mur Le Mur, c’est un fleuve, celui d’où j’ai pris cette photo de la Kunsthaus de Graz. On passe notre temps à la Literaturhaus, où nous lisons « Auf dem dach » dans le cadre de du festival Bookolino.
Je n’ai pas la Télé et ça ne me manque pas, mais parfois j’aimerais bien voir Tracks, Tatort ou le Tagesschau, que des programmes en « T », surtout quand l’hiver est froid, long et gris, ce qui sera, parait-il, le cas cette année ( tout comme l’an dernier :-).
Lampenfieber, ça veut dire trac. C’est le titre du deuxième volume de notre série « The Pommes » publié chez Schott Music. Dans la première partie, « Drummer Gesucht », le groupe cherchait et trouvait son batteur, dans celle-ci il donne ses premiers concerts au Junction Bar (Kreuzberg), au A Laden (Prenzlauer Berg) et à Eberswalde.
Tengo muchos amigos en Barcelona, port tanto hablo español, pero hablo mui malo, so me gusta mucha la iniciativa del Instituto Cervantes de hacer mañana « el dia del Español » con Karaoke, ciné, Cata de vinos, Cata de jamón y muchas otras cosas.
Barcelone et Berlin ont plus qu’un B majuscule en commun, ce sont deux villes de caractère qui laissent encore place à la créativité. Une petite promenade au hasard permet de s’en rendre compte, il est rare de ne pas tomber sur un atelier d’artiste, ou un super graff. C’est ce qui s’est passé il y a quelques jours, lors d’une ballade dans les rues du Born à Barcelone. Voici mon premier billet Shoping de la rubrique Rien à voir avec Berlin ou presque
On va lire nos deux derniers romans au Salon du Livre de Leipzig. Si vous êtes là bas… On lit « Auf dem Dach » et « The Pommes »
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