Je continue de dire que Berlin est la ville des amoureux.
Mais elle est de moins en moins celle de la révolte, tant elle s’embourgeoise, se corrompt, allant même, au bénéfice de quelque riches Russes, jusqu’à effacer des traces de son passé.
Elle se vide de ses artistes en détruisant leurs ateliers, pour construire des immeubles de luxe.
Elle libère les loyers, ce qui entraîne un exodes de ses habitant, remplacés par encore plus de salles de jeux et encore plus de riches qui demandent l’arrêt du développement des pistes cyclables, pour avoir plus de places de parkings pour les grosses limousines.
Bientôt, ce sont les amoureux qui partiront, et Berlin ne sera plus qu’une ville morte comme un cimetière.
Pour info: Ce « love/Revolte » était sur le mur du théâtre Maxim Gorki. Je n’ai trouvé aucune indication sur son auteur. Si vous savez, n’hésitez pas.
Une réponse
J’aime bien suivre les liens dans tes billets.