Mangold à Tours
12/11/2011
Mangold est un des mots allemand que je préfère, c’est aussi le nom de ma prochaine exposition à la galerie Arcades à Tours.
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Mangold est un des mots allemand que je préfère, c’est aussi le nom de ma prochaine exposition à la galerie Arcades à Tours.
Lors des derniers 48 Stunden Neukölln, j’avais découvert l’application de mécanismes dans l’art, avec les danseurs de l’Invalid Robot Factory. Samedi dernier, j’ai mangé un étonnant Gazpacho.
L’expo « Transit » de Roa à la Skalitzer Contemporary s’est finie il y a quelques jours. Donc, cette fois, je ne vais pas vous dire d’y aller, que c’est bien, etc. Pourtant c’est ce que j’aurai dit si je n’y étais pas allé le dernier jour.
La ville organise une exposition qui montre l’état de l’art créé à Berlin par 80 artistes y habitant.
A 12 ans Bibi Aisha et sa plus jeune soeur ont été données à la famille d’un combattant Taliban pour arranger une dispute. Puis elle fut mariée de force avec lui. Après avoir été maltraité par sa belle famille, Bibi revint chez ses parents. Une nuit, des sont arrivé et l’on emmené dans une clairière dans la montagne où un chef Taliban lui coupa les oreilles puis le nez.
C’est une photo d’elle, prise par Jodi Bieber, qu’on voit sur l’affiche de World Press Photo 2011.
Hier notre déambulation a été interrompu par la pluie. De tous ce qu’on a vu, je vous recommande Hope. la performance d’un groupe d’artistes de Barcelone, Berlin et Sofia, qui vivent pendant 48 heures dans une des salles de l’Alte Kindl-Brauerei. Dit comme ça on envie de dire « bof bof, bon, ok » mais allez-y, vous direz autre chose.
Si vous trouvez que les photos sur le blog sont trop petites, venez à Angers, j’y expose, dans la salle voutée de l’hôtel de ville, une trentaine de photo sur Berlin, du mur aux murs. C’est dans le cadre d’Artaq 2011, du 26 mai Au 30 juin.
Epurant son concept de départ, l’Atlas pousse son travail typographique toujours plus loin. C’est ce que montre « Punitions » à la galerie Skalitzers Berlin. Essayez d’être seul dans les pièces, c’est encore mieux.
Margarita Broich est actrice. Un soir, de retour dans sa loge, elle voit son visage ensanglanté dans le miroir. C’est du faux sang bien sûr, elle le sait, mais un malaise né. Il est en parti lié à la fatigue de l’interprétation. Elle décide alors de faire le portraits d’acteurs, dans les quelques minutes qui suivent la fin d’une pièce de théâtre ou d’un tournage. Quand ils sont encore dans le rôles qu’ils jouaient et pas vraiment eux-même, parfois dans les décors de ce qu’ils viennent d’interpréter. Margarita Broich est photographe.
Je suis allé voir Compass, Dessins du Musée d’art moderne de New York (Moma pour les intimes). A 12 euro l’entrée je me suis dit que j’allais voir du lourd. Et non.
Ça devient une manie, j’ai oublié de vous dire un truc, pourtant important pour moi et certainement pour vous. Enfin pour vous, c’est à voir. D’autant plus que pour voir, ce que j’ai oublié de vous dire, il vous faudra aller jusqu’à Jena.
Le Deutsche Guggenheim présente All access world une installation, signée Agathe Snow.
New Oil Works !! est le nom de l’expo d’Ewen Gur à The Office Gallery du 18 au 26 février. Si vous ne connaissez pas son travail ce sera l’occasion de le découvrir, et si vous le connaissez aussi, puisqu’il y expose ses nouveaux travaux, comme l’indique le nom de l’expo, ce que les anglophones auront remarqué, mais pas les autres, d’où cette dernière remarque.
« A Minsk il y en a 37 000. Cette semaine on en a tué 14000, les autres seront éliminés la semaine prochaine. On doit aussi tuer les femmes et les enfants. Le plus dur, pour un père comme moi, c’est de tuer les enfants, mais il faut le faire. Lors de ma prochaine permission j’aurai beaucoup de choses à te dire. »
En ce moment la Berlinische Galerie fait fort. (Ca, c’est de l’intro !) Dans le cadre du 4è Mois Européen de la Photographie on peut y voir le travail beau et touchant d’Arno Fischer, portraits et ambiances de Berlin Est et Ouest.
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