Pour les trois ans d’ATM, Marc Scherer a décidé d’arrêter la galerie, c’est dommage. Pour fêter ça, il organise « Le grand finale », la possibilité de voir le travail de plein de street-artistes différents sans avoir à traverser Berlin dans tous les sens sous la pluie de novembre.
Hier soir, vernissage d’Alias à la West Berlin Gallery. Il présentait des pièces dont certaines qu’on a vu sur les murs de Berlin, mais retravaillées et utilisant des supports comme le bois ou le métal.
C’est l’automne, je rentre de France où je viens de faire deux décrochages en quelques jours, « Murmur de Berlin » au château de Loches, et « Cucchiaio à la Galerie G. J’étais un peu triste. Alors je me suis baladé dans Paris au ralenti et hop, le moral est remonté.
Demain, j’accroche 40 photos aux murs de la galerie G à Paris. Le vernissage est le 1er octobre.
L’art africain ne s’est pas arrêté aux masques, il y a un art africain contemporain très dynamique. On a la possibilité d’en voir quelques exemples à Berlin pour quelques jours encore. L’expo s’appelle Who knows tomorrow. Rendez vous à l’Alte Nationalgalerie, la Friedrichswersche Kirche, la Neue Nationalgalerie et l’Hamburger Bahnhof.
Hier, c’était le vernissage de Reclaim your City à la galerie Neurotitan. Sur les murs et ailleurs, 6-_-.4rtist.com#-_- , Alias, Bimer , El Bocho, Emess, Mean Marek, Prost, SP38, Peachbeach, Sam Crew, Wurstbande et plein d’autres.
Je présente murmur de Berlin au Logis Royal du Château de Loches, dans le cadre des huitièmes Photofolies de Touraine.
G11 , c’est une très bonne idée. Une galerie qui regroupe différents artistes et plusieurs autres galeries. Le projet est tout neuf, puisqu’il a été lancé en avril dernier. Hier, c’était le vernissage de la deuxième expo du lieu.
Stefan Strumbel s’amuse avec les icônes de la Forêt-Noire, sa régions natale, pendules à coucou, masques de carnaval, crucifix et autres trophées de chasse.
il m’arrive de parler de choses dont je ne sais pas parler. C’est pourtant ce que je vais faire aujourd’hui avec l’expo de Damien Hirst et Michael Joo. Encore une fois, Haunch of Venison, la galerie de l’Heidestrasse fait dans le spectaculaire.
J’expose à Blumberg (Kreuzberg). Une vingtaine de photos prisent à Berlin, ces quatre dernières années. Lors d’une quête que je continue: la recherche de l’âme de la ville, l’essence de Berlin.
Gogoplata anime les murs de la galerie ATM. Son travail mélange les influences de la bande dessinée, Robert Crumb, et de la pop surréaliste californienne, Robert Williams and Todd Schorr. Une surprise ensoleillée qui annonce le printemps. J’aurais pu faire l’impasse sur ma précédente phrase 🙂 Allez-y, ATM ne présente que du bon, C’est jusqu’au 20 mars 2010.
Le travail de Thomas Demand est jubilatoire, il réalise à l’échelle 1/1, avec du papier et du carton, des reproductions en volume, d’endroit que nous reconnaissons, une sale de bain, un plongeoir, un tribunal ou un copy center. Moins les gens, moins les informations qu’on trouve sur les vrais dossiers dans un bureau, sur les vraies bouteilles d’eau de javel dans un placard. Puis il photographie l’ensemble avec une chambre et un éclairage parfait.
Le photographe Harald Schmitt travaillait pour le magazine Stern alors que l’Europe était coupée en deux par le mur de Berlin. Plutôt que vivre à Berlin Ouest et d’aller faire des reportages à l’Est, il a préféré habiter à l’Est. Pendant 5 ans. Cinq années dans le « Pays le plus ennuyeux du monde », la RFA, mais aussi la Tchécoslovaquie, la Pologne, la Russie et d’autres pays du bloc Est. Une expo lui est consacrée au Gropius Bau, jusqu’au 11 janvier 2009. Les légendes de ses photos sont aussi passionnantes que les photos qu’elles commentent. En plus, c’est gratuit.
Deux expos photos à voir à la Willy Brandt Haus, « Relikte des Kalten Krieges » et « Helldunkel. Fotografien aus Deutschland ».
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