espresso A berlin - Photo copyright Didier Laget

Le super espresso de la Rixbox

Je baladais des amis dans Neukölln, et voyais le quartier avec des yeux différents que quand j’y passe à toute berzingue sur mon Fahrrad, tandis

A berlin - Photo copyright Didier Laget

Le Bretagne – Kreuzberg

Je ne vais pas y aller par quatre chemins, l’espresso que sert le Bretagne, dans le Marheinecke Markthalle, fait partie de mon Top 5.

A berlin - Photo copyright Didier Laget

Heroes

Au niveau du café, je suis assez borné, je ne suis pas souple du tout, je suis rigide et obtus. J’aime l’expresso italien, c’est tout. Alors, imaginez l’angoisse qui m’a étreint quand je poussais la porte de Heroes, qui annonce « expresso 1€ »

A berlin - Photo copyright Didier Laget

Espresso !

La parole est chantante, les gens s’apostrophent et se tapent dans le dos. Ils s’approchent du comptoir et commandent un espresso ou un ristretto. Ils le sucrent, tellement que le café se transforme en sirop, et le boivent d’un coup. Ils posent bruyamment leur monnaie sur le bar, pour que le serveur sache qu’ils ont payé et s’en vont aussi vites qu’ils sont venus, avec un Ciao! sonor. Ce n’est pas à Rome mais à Berlin.

A berlin - Photo copyright Didier Laget

Late machiatto chez Primo

En prenant un expresso, (attention demandez un expresso, pas un café), dans les bars de Berlin, on est quasiment certain d’avoir un bon café. Les percolateurs sont bien réglés, nettoyés et le café, sans être systématiquement Zegafredo ou Lavazza, est bon. Tellement bon que j’ai même essayé le café au lait. Après plusieurs essais, j’ai l’impression que c’est les Berlinois qui ont inventé le Late Machiato, le capucino ou le Milch-café.