L’atlas à Skalitzers Berlin
Epurant son concept de départ, l’Atlas pousse son travail typographique toujours plus loin. C’est ce que montre « Punitions » à la galerie Skalitzers Berlin. Essayez d’être seul dans les pièces, c’est encore mieux.
Epurant son concept de départ, l’Atlas pousse son travail typographique toujours plus loin. C’est ce que montre « Punitions » à la galerie Skalitzers Berlin. Essayez d’être seul dans les pièces, c’est encore mieux.
C’est l’automne, je rentre de France où je viens de faire deux décrochages en quelques jours, « Murmur de Berlin » au château de Loches, et « Cucchiaio à la Galerie G. J’étais un peu triste. Alors je me suis baladé dans Paris au ralenti et hop, le moral est remonté.
Je présente murmur de Berlin au Logis Royal du Château de Loches, dans le cadre des huitièmes Photofolies de Touraine.
Je marchais en regardant par terre, car un début de fonte de neige libérait quelques crottes de chien, çà et là, quand ce distributeur coloré attira mon regard. Un distributeur d’art !
Backjumps est une revue d’art urbain ainsi qu’une exposition. C’est la quatrième version de cette exposition qui se tient au Bethanien. Il faut savoir que les précédentes, on mit en avant le travail de Victor Ash, Banksy, Nomad, Os Gemeos, Blu, Dave the Chimp et d’autres. C’est donc l’oeil aux aguets et plein d’anticipation que je m’y suis rendu.
Ce salon ne dure que 4 jours, il ne vous reste donc plus que demain dimanche pour y aller. Trois vastes espaces dans lesquels cent soixante galeries présentent leurs artistes. Des connus comme Stefan Balkenhol, Gilbert & George, et des moins connus, en tout cas de moi et dont je tairai le nom de peur de passer pour un ignare ou de les faire passer pour des inconnus alors qu’ils ont déjà exposé vingt fois à la Tate Modern, au Moma et à Pompidou, mais dont le travail emballe.
Des femmes voilées poussent des landaus, des hommes discutent entres eux assis sur les bancs, leur misbaha à la main, mais aucun n’est vraiment interpellé par le gros kiosque rouge qui se dresse au milieu de la place depuis quelques jours. Ni au niveau du vécu, ni du subliminal. Une sculpture signée Farida Heuck. Moi non plus ça ne m’interpelle pas. Pendant un moment, j’ai même pensé que c’était une provocation de l’extrême droite. Le contraire de ce que recherche l’auteur.
Petite arnaque à la Neuenationalgalerie. L’affiche annonçait l « Art excitant du XXe siècle » du 8/11/2007 au 8/6/2008. Le ciel disait, aujourd’hui je vous pourris la vie, on s’est dit « Allons voir l’art excitant du XXe siècle, pour quoi attendre le dernier moment pour y aller » et on y est allé. Aurions-nous dû?
Le Single room hotel est un deux étoiles qui n’a qu’une chambre de 32 m2. Claustrophobes, attention! il n’y a aucune fenêtre aux murs de cette chambre. Publiphobes, attentions! cette chambre est placée entre des panneaux d’affichage publicitaires. Le prix pour une nuit est de 19,90 ou de 25,90 selon la date à laquelle vous faites votre réservation, dépêchez-vous il est presque complet jusqu’au 31 mars 3008
Pluie d’hommes, de femmes et d’enfants dans cet immeuble de bureau à côté du Deutsches Technikmuseum.
Les jeudis à partir de 18 heures et jusqu’à 22 heures, l’accès aux collections permanentes de la Neue Nationalgalerie est gratuit.
Ses installations menaçantes et aiguës vous colleront le vertige (l’univers dans une perle) ou vous feront sourire comme la table qui danse le tango.
L’exposition Berlin Tokyo -Tokyo Berlin à la Neue Nationalgalerie. Elle est le témoignage des échanges artistiques qui ont eu lieu entre ces deux villes depuis une centaine d’années.
Inauguration de l’exposition Sonambiente Berlin 2006 à l’Académie des arts. Et là encore, on pouvait remarquer une forte présence du football, avec notamment deux oeuvres de Tilman Küntzel.
Rencontres internationales Paris/Berlin. FILM / VIDEO / MULTIMEDIA
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