Les collections humides du Muséum d’Histoire Naturelle de Berlin
Lors de ma dernière visite du Muséum d’histoire naturelle, après ma rencontre avec Tristan, j’ai découvert une pièce qui n’existait pas la première fois que
Lors de ma dernière visite du Muséum d’histoire naturelle, après ma rencontre avec Tristan, j’ai découvert une pièce qui n’existait pas la première fois que
J’ai visité un appartement il y a quelque temps. Dans le couloir le propriétaire actuel avait couvert un des murs d’une photo de palmiers autour
Je reviens du musée d’histoire naturelle. À Paris, Londres où ailleurs, j’adore quand dès l’entrée il y a des dinosaures. Avec celui de Berlin, on est servi, car il présente le brachiosaure vivant le plus grand de tout l’univers, certificat du livre des records à l’appui. Enfin, quand je dis vivant, il faut voir ici une licence poétique. Puis c’est la balade entre les vitrines.
Il n’y a pas que le climat qui est bouleversé. Le héron, se prend pour un pigeon et se pose sur la tête d’une statue du pont du Volkspark à Schöneberg.
Je n’ai pas la main verte, et mon intérêt pour les plantes se limite à celles qui se mangent. Malgré ce lourd handicap, je dois reconnaître m’être bien plu au Botanisches Museum. Le seul endroit où j’ai rencontré un psychiatre nerveux tout vert.
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