Elégance sur Tempelhofer Feld
Vu dans le parc de Tempelhof, je ne sais pas quel mot décrit le mieux cette photo. Elégance, classe, pragmatisme. URINAL HERREN La posture de
Vu dans le parc de Tempelhof, je ne sais pas quel mot décrit le mieux cette photo. Elégance, classe, pragmatisme. URINAL HERREN La posture de
En Allemagne aussi, pour lutter contre la tabagie, les paquets de cigarettes changent. J’aime bien les propositions du TAZ, pour remplacer les logos des marques
¡Ollé ! Moue lippue, cambrure équine, profil callipyge, narines ourlées frémissantes, duck faces machistes, les muscles tendant le fin tissu blanc de leur queue-de-pie, Los Vivancos
Si vous ne connaissez pas la série Der Tatortreiniger (je ne parle pas de Tatort mais bien de Tatortreiniger) regardez son générique, il vaut son pesant d’hémoglobine. A la fin vous vous rendrez-compte que sa musique s’est définitivement inscrite dans vos cellules grises et que vous n’arrêtez pas de la siffloter. Au grand dam de votre entourage qui prévoira de vous éliminer le plus rapidement possible.
Sous la dénomination de massage Thaï on trouve à Berlin beaucoup d’officines vendant des services plus proches de la prostitution que de l’Ayurveda ou du Shiatsu.
Le romantisme se niche partout, même sur les quais du métro, dans les distributeurs.
Tout est dans le titre de ce billet: il est interdit d’autoriser d’interdire mais j’ajouterai qu’à l’inverse c’est réciproque.
Vu sur un mur de la Pflügerstraße, où se tenait aujourd’hui la FETT de la musique, un peu gâchée par le temps. Ça m’a quand même bien fait rire.
C’est classique, ça me fait quand même rire.
Vu sous l’autoroute A100 dans Wilmersdorf.
« Fuck Rap, reclaim Hip Hop » et j’ajoute » Down with Autotune! »
Mireille revient. Elle n’a pas changé. Du tout. Elle est toujours aussi bien coiffée. C’est grâce à cette coupe de cheveux, aussi unique que l’ADN que je peux vous révéler en exclusivité mondiale qui est le fils caché de Mireille Mathieu.
Les affiches qui font rire Kreuzberg, ou qui gavent, de ces dernières semaines. Parler de la neige et de la glace tous les jours, rend fou. Maintenant que j’arrive à marcher sans glisser, j’en profite pour regarder les murs de mon Kiez, que je ne quitte pas en ce moment. Au moins, c’est coloré.
Un évènement de taille est passé inaperçu, en tout cas je n’en ai vu nulle trace dans les médias : on a un nouveau boulanger. On est bien content, car le nouveau emballe les baguettes dans des sachets surréalistes et colorés, beaucoup plus beaux que les anciens et que je suis fier de rapporter à la maison. À part, rien n’a changé, ses pâtons sont toujours dans le congélateur près de la porte d’entrée.
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