Des arbres, pendus la têtes en bas, dansent en tournant sur eux même, parfois ils s’accrochent et le bruit de leurs branches s’entrechoquant résonne dans la salle. Sous le choc, leurs feuilles, leurs épines tombent.
Cette oeuvre poétique s’appelle Forst, une installation de Michael Sailstorfer présentée à la Berlinische Galerie.
FORST, jusqu’au 8 octobre 2012
Berlinische Galerie
Alte Jakobstraße 124-128
10969 Berlin