À chaque nouvelle Berlinale, une question lancinante se pose : avec quel animal de compagnie poseront nos vedettes de l’écran favorites?
Cette année la réponse surprend. Fini les Chihuahuas, trop Paris Hilton. Fini les Pits, trop neuf trois. Fini le furet, ça pue. Non, cette année, nos stars sont venues accompagnés d’escabeaux. Grands ou petits, presque neufs ou très anciens, tous ont été adoptés dans des refuges spécialisés, qu’ils ont quittés, on l’imagine, avec joie. Mais est-ce que vivre dans l’ombre d’une superstar du cinéma est vraiment une sinécure?
La réponse est clairement non. Les services d’entretien ont demandé aux vedettes de ne pas défiler en tirant leur escabeau de peur qu’il ne déchire le tapis rouge. Les festivaliers doivent donc supporter le spectacle pitoyable de ces escabeaux abandonnés, attachés à l’aide d’un antivol aux barrières de sécurité en attendant que leur maître revienne de projection ou de conférence de presse.
On aura tout vu.