Le silence de la Neue Wache
J’étais accroupi dans un angle de la Neue Wache, un oeil sur la silhouette sombre et trapue posée à quelques mètres de moi, un autre sur l’agent de sécurité qui m’observait les mains sur les hanches, et un autre sur le faisceau de lumière qui, passant par un trou circulaire dans le plafond, éclairé la silhouette trapue. La pièce était froide et vide. J’attendais juste la bonne lumière pour faire la photo qui me rendrait aussi célèbre que Doisnault.