Depuis quelque temps, se dresse au milieu de la Holzmarktstraße, entre le siège de la BVG et Kater Holzig, une installation assez mythologique. Elle m’évoque une Persée féminine tenant la tête d’une Gorgone masculine. que j’appelle une sculpture, faute de mieux,
Sous la dénomination de massage Thaï on trouve à Berlin beaucoup d’officines vendant des services plus proches de la prostitution que de l’Ayurveda ou du Shiatsu.
Une ballade dans Bergmannstraße, depuis le très bruyant Mehringdamm jusqu’à la Marheinekeplatz, bien plus calme. J’avais déjà enregistré cette ballade en 2005, mais tout était tellement calme que je n’avais pas grand chose à écouter. J’aurais du l’archiver, car la différence est frappante.
Le romantisme se niche partout, même sur les quais du métro, dans les distributeurs.
Le Mur de Berlin est un monument historique, il est une des rares traces visibles de ce qui fut un pays totalitaire, qui a tué et torturé des centaines de citoyens. Ce mur entourait complètement Berlin empêchant les Allemands de quitter leur pays librement. Il n’en reste plus beaucoup de parties intactes, surtout depuis que la ville s’acharne à le couper en morceaux. Jusqu’en 2008, la partie la plus longue était L’East Side Gallery qui faisait 1300m. Jusqu’à ce que les investisseurs immobiliers décident de gagner quelques sous avec.
L’amitié franco allemande, je la vis au quotidien depuis un paquet d’années, alors je lui souhaite un joyeux anniversaire. Mais j’ajoute un truc ou deux.
Tout est dans le titre de ce billet: il est interdit d’autoriser d’interdire mais j’ajouterai qu’à l’inverse c’est réciproque.
La première fois que je suis passé près de ce cercueil, il était fermé. Normal non? Mais il y a quelques jours je l’ai trouvé ouvert. Et ça c’est moins normal, surtout le jour des morts! Oder?
Peint sur des planches de bois rouge « She is dancing, he is dreaming ». Trente minutes après cette photo, les planches avaient disparu. Baerwaldstrasse à Kreuzberg.
Au rez-de-chaussé de l’immeuble à côté de mon glacier préféré, il y a un balcon. Sur sa rambarde, le propriétaire de l’appartement a planté des fraises, des tomates et des poivrons qui sont à portée de main. Il prévient :
Je parie que vous ne regardez même plus le sol des rues de Schmargendorf. Moi si.
Aïe! Voilà que je publie une photo de rose. C’est quoi la prochaine étape ? Une photo de chat qui mange une currywurst?
Je l’ai déjà dit, Berlin est la ville de l’Amour, d’ailleurs je ne suis pas le seul à le penser, il suffit de se rendre dans la rue Ich Liebe dich pour s’en rendre compte.
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