Vu dans le parc de Tempelhof, je ne sais pas quel mot décrit le mieux cette photo. Elégance, classe, pragmatisme. URINAL HERREN La posture de l’homme pictographié, émêché, la voix trainante, le rire rauque. La courbe du jet. Ses amis...
Interdit de Jacques Tati, de Jour de fête, de monsieur Hulot, de Mon oncle, de Playtime, de Trafic, de Parade.
Tout est dans le titre de ce billet: il est interdit d’autoriser d’interdire mais j’ajouterai qu’à l’inverse c’est réciproque.
J’ai croisé Clet Abraham, ou plutôt son homme du commun. Il sciait un panneau de sens unique.
Deux interdictions, vues dans la Leipziger Straße. Celle de droite est claire : Il est interdit de se perforer la main pour faire des confettis en présence d’un pigeon noir. Celle de gauche en revanche…
Berlin, gare de Lichtenberg : interdit aux bottes, aux fox terriers, aux valises à roulettes, mais autorisé aux éléphants tenus par la trompe et aux caméras.
J’adore ce panneau. Il annonce une Spielstraße, une rue dans laquelle on joue. Ca veut dire que les voitures qui s’y engagent doivent s’attendre à rencontrer des enfants qui jouent au foot, qui font du skate ou du vélo, des enfants qui jouent à Chat et qui risquent de traverser la rue sans regarder à droite ni à gauche. Des enfants quoi. Ils crient, ils rigolent, ils pleurent, c’est une drôle d’ambiance.
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